Comment écrire un article alors que les idées ne viennent pas ? 7 hacks pour forcer votre cerveau à agir comme un pro

comment écrire un article alors que l'inspiration ne vient pas ? Mes hacks de journaliste pro
Écrire un article quand le stress monte ? Que le temps manque ? Je vous explique mes méthodes de journaliste pro pour faire retomber la pression.

Comment écrire un article de blog ou un post pour vos réseaux sociaux, mais que vous êtes bloqué(e) ? Votre inspiration s’est envolée. Comme un nuage de fumée.

Ça vous énerve.
Ça vous décourage, même.

J’ai vécu ça quand j’étais jeune journaliste dans la presse quotidienne. J’avais la pression du résultat.

Avec le téléphone du rédac’chef qui sonnait pour me speeder.
Avec l’heure qui tournait.
Avec le stress qui montait.

Alors, en douze années de formation et d’expérience pro :
– j’ai développé mes stratégies créatives.
– j’ai écouté les conseils de mes profs à l’école de journalisme.
– j’ai retenu ce que me disaient mes « anciens » collègues rédacteurs expérimentés.

À force d’essayer, j’ai compris qu’il y a sept comportements à avoir ou astuces à connaître pour écrire un article de blog.

Je vous les dis tout de suite, mes secrets de journaliste.

Après ça, plus jamais vous ne manquerez d’idées.
Plus jamais vous serez coincé(e).

Promis.

Comment commencer à écrire un article ? D’abord, une fausse idée qui m’énerve

Je vous préviens.

Je ne vais pas vous parler de référencement naturel (SEO), ni de structure de texte HTML, etc.
Tout ça, c’est dit et redit sur YouTube et ailleurs.
C’est pas le sujet de ce post.
(Si le SEO vous intéresse, je vous conseille de voir le travail d’Amandine Bart. C’est la Queen.)

Non, l’objectif de mon article, c’est de régler vos pannes d’inspiration.

Ce sujet est très peu abordé.
Parce que les gens pensent d’abord outils, techniques.
Mais jamais à comment se mettre en état de créer des contenus captivants.

Ça me dépasse.

Pourtant, c’est essentiel, non ?
C’est bien beau les formations pour structurer ses articles avec du SEO. Ou sur le copywriting.
Mais si vous ne savez pas ce que vous allez dire, c’est quand même là le vrai problème !

Vous, au moins, vous avez conscience que la créativité, c’est ce qui va faire la différence.

Surtout avec l’arrivée de l’intelligence artificielle.
Vos lecteurs attendent des contenus qui leur apprennent des choses, qui leur donnent des émotions, qui les amusent aussi.

Voilà pour la minute coup de gueule…

Maintenant le moment de vérité.

Je dois être clair.
Si vous êtes en panne.
Si vous êtes victime du syndrome de la page blanche, ce n’est pas -mais alors vraiment pas- une question de compétences.

Pas du tout.

C’est avant tout une question de mindset, d’émotions, de préparation.

Oui, je sais, dit comme ça, ça fait très gourou.
Rassurez-vous. Je ne vais pas vous imposer de faire des prières sous la pleine Lune. Ni de danser nu(e) autour d’un arbre totem.

Non, c’est pas le genre de la maison.
J’aime le concret.

Je vais appuyer mes propos sur les recherches en neurosciences, sur mes lectures, et sur ce qui a marché (ou pas) lors de ma carrière de rédacteur pro.

Bon, on y va ?
Vous êtes prêt(e) ?

Donnez-moi la main.
Je vous amène de l’autre côté.
Là où les idées poussent toute l’année.

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du storytelling

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Comment écrire un article de journal alors qu’il y a le stress qui monte ?

Pour vous aider au mieux…

Je dois vous faire comprendre à quel point j’ai souffert de cette situation. Comme vous.
Quand vous subissez la panne d’idées au moment de rédiger.
Quand vos mains n’arrivent pas à taper sur le clavier.
Quand vous êtes débordé par votre stress.

J’avais 23 ans.
J’étais journaliste stagiaire dans un hebdomadaire du Pas-de-Calais.
C’était ma première expérience professionnelle. Elle durait deux semaines.
Je remplaçais une pro qui avait pris quelques jours de vacances.

Les premiers jours, tout allait à peu près bien.
Je faisais mes reportages sur le terrain.
J’interviewais les gens.
Je rédigeais mes sujets au fur et à mesure.
Je corrigeais aussi les copies des correspondants.

Mon job, quoi.

C’est le 6e jour que ça s’est compliqué grave.
Au moment du bouclage.
Là, tout un tas de copies sont arrivées.
Toutes à relire au dernier moment.

J’avais encore mes articles à finir.
Il manquait les titres. Ou les intertitres. Ou je n’étais pas content du résultat.

Bref, j’ai été submergé par une grosse masse de choses à faire en même temps.

La première heure, je n’ai rien osé dire.
Je me disais : « Bon, ça va se calmer. Je vais arriver à prendre les tâches les unes après les autres. »

Mais. Non.
Ça continuait.

« J’étais en mode panique. Blanc.
Ma collègue journaliste en face de moi a tout quitté.
 »

J’ai senti la vague de stress arriver.
Les sténographes s’inquiétaient aussi.
Mes pages n’avançaient pas.

J’étais en mode panique.
Blanc.

Une collègue journaliste a compris ce qui se passait.
Elle est venue vers moi. Je lui ai tout expliqué.

Elle est venue à la rescousse.
Elle a pris une partie des copies.
Elle a pris son téléphone.
La collègue que je remplaçais a dû écourter ses vacances et venir en catastrophe.

Vous voyez la scène…
Un vrai échec pour moi, jeune journaliste ambitieux.

Depuis ce jour-là, je vous promets, jamais plus je ne me suis fait avoir.
Ça vous met une telle claque.
Ça vous rend tellement coupable.
Que vous ne voulez plus jamais revivre ça.

C’est pour ça que j’ai cherché à partir de là mes méthodes pour écrire un article intéressant sans stress.

Voici la première conclusion que j’ai tirée de ma première expérience :

Écrire un article de journal sans stress : la première chose à NE PAS faire

Si vous êtes débutant dans la rédaction d’articles, ou que vous êtes sujet au stress, ou les deux…
La chose essentielle à éviter, c’est d’attendre le dernier moment pour vous mettre devant votre écran.

Même si l’inspiration ne vient pas.
Même si vous avez envie de faire autre chose.
Prenez de l’avance et asseyez-vous à votre bureau.

Forcez-vous à, au moins :
– rédiger votre titre,
– écrire votre plan,
– relire les notes que vous avez prises.

Le top ?
Vous vous lancez.
Vous tapez vos grandes idées.
Même si votre travail n’est pas parfait, vous avez fait le plus dur : vous avez mis votre cerveau en mode action.

Je vous explique pourquoi. J’ai découvert ça grâce aux neurosciences :

Comment ne plus être bloqué devant la page blanche grâce aux neurosciences

J’ai découvert pourquoi vous devez toujours enclencher le processus de création. Même si vous n’allez pas au bout.

Ce sont les neurosciences qui m’ont appris ça.
Terrence Sejnowski, pour être exact. (Il est professeur au Salk Institute for Biological Studies, aux États-Unis, où il dirige le laboratoire de neurobiologie computationnelle).

Ce scientifique s’est penché sur le fonctionnement du cerveau.
Ses conclusions, il les a résumées dans un Mooc génial, « apprendre à apprendre ».

Ce qu’il dit est très simple, en fait.
Soyez super attentif(ve), c’est important pour vous.

Quand vous êtes en action cérébrale, vous réfléchissez selon deux modes. Le mode concentré et le mode diffus.

Le mode concentré se situe plus dans le cortex préfrontal.

On peut dire qu’il est utilisé pour vos opérations « courantes ».
Les tâches du quotidien :
– faire le point sur votre feuille de paie.
– analyser vos comptes à la fin du mois.
-chercher la meilleure façon de commencer une lettre de motivation, calculer un pourboire, etc.

C’est le mode séquentiel, rationnel, analytique.

Le mode diffus, vous le sollicitez pendant vos nouveaux apprentissages.

Vous pouvez y accéder :
– quand vous faites une balade, du sport,
– quand vous pensez sous la douche,
– quand vous glissez dans le sommeil.

Ces deux modes de pensées expliquent pourquoi, quand vous avez un nouveau problème à résoudre, et après vous être concentré dessus, vous devez laisser « vaquer » votre esprit.
Pour laisser tout ça reposer. Comme un bon soufflé.

Si c’est la fin de la journée et que la fatigue se fait sentir, allez vous coucher.
Vous y reviendrez le lendemain matin, à « tête reposée », comme on dit.

Si c’est pendant la journée, pensez à d’autres trucs, totalement différents.
Mieux, sortez prendre l’air, marchez, courez.
Détendez votre esprit et laissez-le faire des connexions aléatoires.

Dans les deux cas, pendant que vous dormez ou quand vous faites du sport, votre cerveau continue à chercher, sans que vous en ayez conscience.

Et après, eurêka.
D’un coup, ça vient.

D’ailleurs, Daphne Gray-Grant, coach en écriture et écrivain, le conseille à ses élèves : quand vous êtes en panne d’inspiration, sortez marcher.

Mais elle oublie de préciser ce que je vous ai dit (et qui est capital) : entamez la réflexion avant. Mettez votre cerveau en alerte.

Il y a une autre chose aussi importante que vous devez « programmer » en vous pour être encore plus efficace dans votre rédaction d’article.

Cette fois, c’est un chercheur d’Harvard qui m’a donné son secret :

Quel mindset vous devez avoir pour donner un vrai coup de booster à votre créativité ? Leçon d’un chercheur de Harvard et de commandos d’élite américains qui ont failli perdre la vie

Shawn Achor est un scientifique qui s’est intéressé à la psychologie positive.
Son livre, « Comment devenir un optimiste contagieux », a été une révélation pour moi.

Ce scientifique de l’université de Harvard a prouvé avec ses travaux deux éléments qui expliquent votre fonctionnement.

Si vous restez en mode stress, vous diminuez vos capacités cognitives.
À l’inverse, si vous passez en mode positif, optimiste, vous augmentez d’un tiers votre puissance de réflexion.

Un tiers, c’est énorme.
D’ailleurs, je me demande encore comment le management par le stress peut encore être appliqué dans certaines entreprises. Elles se privent d’un tiers de leur intelligence collective ! Un vrai gâchis, non ?

Pour vous illustrer cette démonstration scientifique, voici une histoire qui va vous scotcher.

Je l’ai entendue lors de la dernière conférence de Christophe Haag, professeur-chercheur en comportement organisationnel, à l’École de management de Lyon.

Il a raconté l’aventure subie par des commandos de l’armée américaine, en opération spéciale en Amérique du Sud.

Une aventure qui aurait pu très mal se terminer pour ce groupe d’une dizaine d’hommes.

Ces soldats d’élite, super entraînés, rentraient d’une mission ultra-secrète anti-drogue. Ils avaient embarqué dans l’avion qui les ramenait vers les États-Unis.
Cet avion, ils l’avaient subtilisé à un des caïds de la drogue.

Une fois dans l’avion qui survolait la jungle, d’un coup, un des deux moteurs s’est mis à caler.
La tension est montée dans la carlingue.
Plus un mot.
Les gars à l’arrière sentaient que ça craignait.

Le pilote tentait de reprendre le contrôle comme il pouvait.
En-dessous, une immense étendue verte. Que des arbres à perte de vue. La jungle.

Puis… catastrophe. Le deuxième moteur a commencé à montrer des signes de fatigue.
Putain, ils allaient y passer.

Le pilote était en panique. Moteur en panne. Pas de piste pour atterrir.
Puis, un miracle.

Le pilote était en panique.
Les commandes partaient en vrille.

Et là, comme nous l’a raconté Christophe Haag, un des militaires s’est mis à rigoler.
Ses camarades ne comprenaient pas.
Il leur a dit : « Imaginez les gars. On va se scratcher. Et les journaux vont titrer : les militaires américains étaient en fait des dealers de drogue, retrouvés tous morts dans l’avion privé d’un baron du trafic de cocaïne. »

Les autres se sont mis à rire.
Le pilote aussi.

Et puis, miracle.
Le pilote s’est souvenu qu’il a survolé, voilà 20 minutes, une clairière sans arbres.
Elle était une piste d’atterrissage parfaite, s’il pouvait la rejoindre.

Il a poussé sur les commandes pour prendre de la hauteur. Rejoindre les vents d’altitude et planer au maximum vers la piste.

La suite ?
Ils se sont posés. Tous saufs.

Conclusion ?
Quand ça craignait grave, le pilote a fait retomber la pression en riant.
Il a augmenté ses capacités cognitives pour trouver une solution innovante.

C’est pareil pour vous.
Faites retomber la pression.
Faites une activité qui vous plaît. Danse. Yoga. Running. Etc. Une activité qui vous fait penser à autre chose et vous met dans un mindset positif.

Voilà pour votre préparation mentale.

Maintenant, passons à la technique du journaliste :

Si vous êtes face à la page blanche, c’est trop tard. Voilà ce que vous devez faire à la place. Tout de suite

Tous les journalistes pros que je connais. Ceux qui ont un vrai talent. Ceux qui ont toujours une citation stylée. Ils ont tous une astuce. Simple.

Tous ont un carnet de notes qui ne les quitte jamais.

Ils y griffonnent les pensées des autres. Leurs résumés de lectures. Les paroles qui les surprend.

Pourquoi ?
Parce qu’ils savent qu’à un moment, ces notes vont leur servir.

Vous ?
Vous devez faire pareil.

Un carnet suffit.
Si vous êtes plus digital native, des outils comme Notion, Obsidian, ou To Do Ist sont parfaits.
Tous vous permettent de capter vos apprentissages.
Et surtout de les retrouver facilement grâce aux hashtags ou aux mots clefs.

Mon conseil (primordial, soyez vigilant) : JAMAIS vous ne vous attribuez la parole des autres.
Vous les citez.
Vous citez votre source.
C’est une preuve de sérieux, de professionnalisme.
C’est une question d’éthique aussi.

La créativité n’est pas une compétence innée. Vous pouvez la développer. Voici comment

Le cliché qui est trop répandu, c’est qu’on naît créatif.

Je vous le redis.
Les top créateurs de contenus n’ont pas fait Normale Sup ou Hypokhâgne.
Ce ne sont pas non plus des bacheliers littéraires qui ont décroché une mention très bien.
– Parce que l’écriture numérique ne veut pas d’adverbes. De formules compliquées.

Non. Non. Non.

Voyez ma propre expérience.
Au lycée, j’étais en Bac C (maths et physique-chimie).
Au bac, j’ai eu tout juste la moyenne en français.

Mais j’ai fait une carrière sympa dans le journalisme.
– Parce que je suis logique. Et j’aime raconter des histoires.

Comment ?
– Je me suis EN.TRAÎ.NÉ.

L’écriture ne devient un plaisir qu’à partir du moment où vous vous entraînez.
Comme un skieur olympique qui dévale les pentes tout l’hiver.
Comme un guitariste qui répète ses accords.

Donc ?
Votre créativité, c’est :
– 80 % de travail,
– 19 % de discipline,
– 1 % de talent.

Je sais, c’est pas vendeur.
Tous les débutants veulent le hack pour aller vite. Sans faire d’effort.

Mais sans effort,
– vous ne progressez pas.
– vous ne prenez pas du plaisir à rédiger des articles.
– vous enrichissez les infopreneurs qui vous disent ce que vous voulez entendre. Et vous vendent leur formation à 997 € trop-de-la-balle.

Bonus : je vous dévoile mon secret de journaliste pour mener une interview par jour, écrire deux articles et gérer 30 correspondants

Bon, imaginez que vous venez d’interviewer une personnalité.
Ou que vous avez réuni toutes les données pour votre idée d’article.

Je sais. Vous êtes fatigué(e).
Écouter et prendre des notes vous demande beaucoup d’efforts.
C’est exigeant (ceux qui n’ont jamais fait ça ne s’en rendent pas compte).
Vous n’avez qu’une idée : fermer votre ordi. Penser à autre chose.

C’est une erreur.
C’est maintenant que vous devez agir.
C’est ça mon secret de journaliste.

Pourquoi ?
– Parce que votre mémoire immédiate est encore « chaude ». Elle a enregistré plein d’infos. Sans que vous vous en rendiez compte.

Toutes ces infos, si vous attendez ne serait-ce que 24 heures pour écrire votre article, vous les aurez PERDUES.

Pourtant, elles contiennent des émotions que vous avez ressenties.
Des détails que votre interlocuteur vous a confiés.
Des idées que vous n’avez pas eu le temps de noter.

Tout ça, c’est de la saveur supplémentaire pour votre article.

Alors, GO !

Écrivez tout de suite.
Dès la fin de votre interview.
Dans un café. Dans le train.

Mais TOUT DE SUITE.
Ça va fonctionner à une condition : pas de perfectionnisme (je sais, c’est difficile pour vous d’entendre ça).
Vous laissez aller le flux.

En faisant ce que je vous dis :
– Vous X10 votre productivité.
– Vous X2 l’impact de vos mots.
– Vous réduisez à néant l’angoisse de la page blanche.

Le lendemain ?
Vous abandonnez votre casquette de rédacteur.
Vous devenez le correcteur (on appelle ça un secrétaire de direction dans le monde de la presse).
Vous relisez et vous corrigez votre texte l’esprit reposé. Serein(e).

Bref. Vous quittez le monde des amateurs. Vous devenez un professionnel de l’écriture. Je vous félicite !

Et si vous voulez aller plus loin dans la rédaction des histoires, inscrivez-vous tout de suite à mon groupe privé :

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Conclusion : pour écrire des articles sans crise ni stress,
– 1. Prenez des notes pour vous inspirer.
– 2. Écrivez tous les jours pour vous entraîner.
– 3. Commencez quelques lignes pour vous lancer.
– 4. Aérez-vous la tête ensuite pour vous déstresser.
– 5. Faites une activité qui vous plaît pour vous conditionner.
– 6. Rédigez vos contenus à chaud dès que vous le pouvez.
– 7. Relisez-vous à voix haute et corrigez vos textes le lendemain pour vous alléger.

Et surtout, surtout, prenez du plaisir à partager votre savoir.
Internet vous permet ça : toucher le monde entier.
C’est formidable.

La preuve : j’ai du plaisir à écrire ces lignes pour vous, mes ami(e)s.
Alors que c’est samedi, 20h30. Et que je suis censé être au repos. Ou prendre l’apéro avec des potes.

Mais je préfère être avec vous.

J’espère que ce que je vous dis va vous aider. Si c’est le cas, dites-le-moi en commentaires. C’est ma vraie récompense.

Vous pouvez même aller plus loin avec cet article sur mes techniques de rédaction pour améliorer votre style.

Damien, de Conseil Storytelling

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