Comment bien écrire sans se prendre la tête : 23 secrets de journaliste pro

Les algorithmes de Google, Instagram, Facebook, sont des ogres. Ils ne sont jamais rassasiés.
Mais vous n’êtes pas des machines.
Vous n’êtes pas des robots.

Alors, j’ai décidé de vous aider. Avec deux stratégies puissantes et gratuites :
– Je vous partage tout de suite dans cet article, toutes mes tactiques, tous mes secrets de journaliste.
– Je vous propose de rejoindre mon groupe privé. Devenez un Storyteller.

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du storytelling

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J’avais moi aussi la pression quand, jeune professionnel de la presse, mon rédacteur en chef me commandait mes reportages. Toujours à rendre en urgence. Au dernier moment.
Avec le temps, en écoutant mes collègues rédacteurs, en voyant comment faisaient les « anciens », j’ai appris. J’ai développé mes techniques pour avoir une belle écriture.

Mes secrets, mes techniques, vous les voulez ? Vous êtes prêt à écrire comme un pro ?
C’est parti !

1. Comment avoir une belle écriture avec un vilain état d’esprit ? Écoutez ce chercheur de la plus prestigieuse université au monde

Longtemps, les cours de Shawn Achor ont été les plus célèbres à Harvard. Les étudiants s’y bousculaient. Eux, l’élite mondiale, les plus brillants cerveaux, se pressaient pour l’écouter. Plus une place dans l’amphi.
Le prof parlait des dernières recherches en économie ? De géopolitique ?
Vous n’y êtes pas du tout.
Il leur dévoilait les secrets de la réussite.

Ces secrets, il ne les pas inventés. C’est après avoir interviewé plus de 1000 étudiants que Shawn a fait sa découverte.
Il s’est demandé : comment expliquer que des jeunes gens, qui ont fait des efforts énormes pour se retrouver dans cette université élitiste, soient aussi stressés ? Aussi peu épanouis ?
Comment trouver ce qui fait la différence entre les élèves qui réussissent et ceux qui se plantent ?

Il a trouvé. Comment développer sa créativité. Comment être le meilleur, tout simplement.
C’est une question d’état d’esprit. Relisez à ce sujet mon article sur le mindset du rédacteur.

Vous pensez que c’est votre réussite matérielle qui vous rendra heureux ?
C’est l’inverse qui est vrai.
Si vous êtes heureux, si vous êtes positif, vous réussirez.
Un esprit créatif est d’abord un esprit heureux.
Un esprit heureux est 35 % plus productif.

Mon premier secret : mettez-vous dans un état d’esprit positif.
Avant d’écrire un article, faites un truc qui vous fait plaisir. Buvez un café. Savourez un chocobon.
Ou quand vous vous sentez en joie, asseyez-vous vite à votre bureau. Et lâchez les chevaux.
Ce qui m’amène à mon deuxième conseil.

2. Écrire correctement une phrase ne veut pas dire écrire la phrase parfaite

Quand l’inspiration est là. Quand votre créativité turbine comme une Formule 1, lancez-vous. Écrivez en mode continu.
Tant pis si ce n’est pas parfait.
Tant pis si vos tournures de phrases, il n’y a que vous qui les comprenez.
Vous y reviendrez demain. Ou plus tard. Pour corriger à tête reposée.

En faisant ça, vous avez deux actions puissantes :
Vous libérez votre cerveau de sa charge mentale. Il n’y a rien de pire pour lui que de penser : « Il me reste cet article à écrire. » Ou : « Mais quand je vais trouver le temps pour rédiger ce post Linkedin ? »
– Vous évacuez votre stress.

Mon deuxième conseil : écrivez d’un trait – relisez à tête reposée.

3. Votre premier outil magique pour être créatif

Daphne Gray-Grant en a parlé dans son blog.
Elle est coach en écriture. Une des plus brillantes au monde.
Elle est fan d’un outil pour soigner son écriture et avoir un esprit créatif.

Cet outil ?
C’est le mind-mapping.
C’est une pépite.

comment bien écrire - outil de mindmapping



Comment elle fait ?
– Elle prend une feuille A4 qu’elle pose dans sa largeur.
– Au centre, dans une bulle, elle écrit le thème de son sujet.
– Autour, elle relie les idées.

Mon troisième conseil : faites comme Daphne Gray-Grant. Structurez votre pensée avec le mindmapping.

4. Comment bien écrire ? Votre deuxième outil magique

La page blanche est le pire des problèmes pour vous, rédacteur, ou créateur de contenu.
Comment bien écrire si vous ne savez pas sur quoi écrire ?
Vous devez toujours avoir un réservoir à idées.
N’attendez pas d’être au pied du mur pour apprendre l’escalade.
Tous les rédacteurs que je connais et qui sont des références, comme André Dubois, ont un système pour prendre des notes.

Que devez-vous faire ?
– Inscrivez-vous à une appli de prise de notes (comme Evernote, Google Keep).
– Dès que vous écoutez un podcast, que vous lisez un article, un email, un livre, conservez-les dans votre appli.
– Vos idées brillantes viendront de là. Quand vous ferez référence à vos notes. Écrire professionnel, c’est ça.

Mon quatrième conseil : ayez toujours une idée à portée de clics.

5. Trouvez votre chrono-productivité

Vous êtes tous différents.
Peut-être, vous êtes plus productif le matin à 7 heures.
Ou le soir après 18 heures. Ou après 20 heures, quand les enfants sont couchés.
Peut-être, vous êtes capable d’enchaîner une phase de concentration de deux, trois heures d’affilée.
Ou vous mobilisez vos forces pendant 45 minutes au maximum.

Écrire un article est un moment exigeant pour vous.
Il vous coûte en efforts : votre cerveau brûle 25 % de votre énergie.

Respectez votre rythme. Votre chrono-productivité.
C’est vous qui vous connaissez le mieux. D’après votre expérience.
Par exemple, mes articles de fond, mes enquêtes de journaliste, je les rédigeais tout le temps le matin, après ma réunion de rédaction. À 9h30.

Mon cinquième conseil : concentrez vos efforts de rédactions dans les moments où vous êtes le plus efficace.

6. Travaillez en blocs

Cette technique des blocs, elle va changer votre façon de bosser.
Les experts en productivité, comme la méthode GTD de David Allen, la préconisent.
C’est une méthode de créativité efficace.

Elle dit quoi ?
L’erreur est de morceler votre travail.
La bonne idée est de regrouper vos tâches ensemble.

Je vous donne un exemple tout de suite.
Journaliste, j’avais plusieurs fonctions à occuper pour assurer la parution de mon journal.
Parmi elles, la relecture et la correction de la copie de mes correspondants.

Comment je faisais ?
– J’attendais d’avoir reçu toutes mes copies.
– Je les révisais ensemble, en blocs.

Pareil pour mes prises de rendez-vous. Regroupées.
Pourquoi c’est efficace ?
– Toujours pareil, c’est comme ça que fonctionne votre cerveau.
– Les recherches en neurosciences l’ont prouvé. Une fois que vous êtes « formaté » à une tâche, répétez-la.

Mon sixième conseil : les blocs sont le système de productivité le plus efficace.

7. En manque d’inspiration ? Cette solution est contre-intuitive. Mais c’est un expert mondial des neurosciences qui vous la donne

Quand un expert des neurosciences vous donne un conseil, vous le suivez ?
Alors voici ce que dit Terrence Sejnowski, directeur du laboratoire de neurobiologie computationnelle de Crick-Jacobs (États-Unis).

Il a prouvé que vous avez deux modes de pensée : concentré et diffus.

« Le mode concentré correspond au type de concentration intense dont vous avez besoin pour analyser un problème, étape par étape », explique Sejnowski. « Les états neuronaux de repos associés au mode diffus semblent pouvoir vous permettre de jeter un regard beaucoup plus large et d’avoir une meilleure vue d’ensemble. »

Je vous éclaire.

Le mode concentré se situe plus dans le cortex préfrontal. On peut dire qu’il est utilisé pour vos opérations « courantes », les tâches du quotidien : faire le point sur votre feuille de paie, analyser vos comptes à la fin du mois, etc.
C’est le mode séquentiel. Rationnel. Analytique.

Le mode diffus, vous le sollicitez pendant vos nouveaux apprentissages.
Vous pouvez y accéder quand vous faites une ballade, du sport. Quand vous pensez sous la douche. Quand vous glissez dans le sommeil.

Ce qui est génial, c’est la leçon que vous en tirez.
Peu de gens le savent.
Ces deux modes de pensées expliquent pourquoi, quand vous avez un nouveau problème à résoudre, et après vous être concentré dessus, vous devez laisser divaguer votre esprit. Pour laisser tout ça reposer, comme un bon soufflé.

Votre cerveau agit en arrière-plan. Quand vous allez vous ballader par exemple.
La solution va surgir. Le chemin s’éclairer. Comme la rassurante lumière d’un phare.

Mon septième conseil : en cas de manque d’inspiration, posez-vous sur la table.
Imaginez des idées.
Et allez courir.

8. Prenez de l’avance sur vos concurrents. Pensez à votre lecteur. Pas à l’algorithme.

Améliorer son écriture, c’est d’abord… penser à son lecteur. Avant d’obéir aux algorithmes.
De toute façon, sur le long terme, vous serez gagnant.

Regardez.
Google, Facebook, Windows ont attiré les ingénieurs, les experts les plus brillants. Pour imiter le cerveau humain avec leurs algorithmes. Plus ils créent des lignes de codes, plus ils s’approchent de leur but suprême.
Voyez les évolutions de l’algo Google. Il est perfectible. Mais performant. Il devine déjà vos intentions de recherches. Et celles de vos lecteurs.

9. Oubliez ce que vous avez appris à l’école

À l’école, vous avez appris à écrire des rédactions. À faire travailler votre esprit critique.
Mais vous n’avez pas appris à raconter des histoires.

Oubliez les dissertations.
Oubliez le thèse – antithèse – synthèse.
Oubliez les paragraphes compacts et denses.
Ou vous perdrez vos lecteurs.
Sur l’écran d’un smartphone, ou d’un ordinateur, on ne lit pas comme dans un livre.

Mon neuvième conseil : apprenez le storytelling. Pour captiver votre lecteur. Voici d’ailleurs votre guide gratuit du storytelling.
Aérez vos contenus. Sautez des lignes. Faites souffler votre lecteur.

10. La méthode de la pyramide inversée

Ce dixième conseil rejoint le précédent.
Respectez le rythme de lecture, les exigences de vos visiteurs. Pour bien écrire, appliquez la pyramide inversée du journalisme :

comment bien écrire - appliquer la pyramide inversée du journalisme


Donnez à vos lecteurs l’information qu’ils attendent tout de suite.
Cette information ?
– c’est la réponse à la question que vous posez dans votre titre.
– c’est les clefs pour que votre visiteur agisse vite.
– c’est, comme en journalisme, le QQOQCP : Qui fait Quoi Où Quand Comment Pourquoi ?
Vos visiteurs ne prendront pas le temps de chercher vos réponses dans votre texte.
S’ils ne les trouvent pas en quelques secondes (je dis bien secondes, pas minutes), ils iront les chercher ailleurs.

11. Vite. Vite. Vite. Pensez aux éjaculateurs précoces

Certains lecteurs sont comme des éjaculateurs précoces. Ils n’ont pas le temps de savourer.
Ils veulent leur shoot vite. Très vite.
Alors ils scrollent frénétiquement. Ils « scannent » vos contenus. Ils lisent les gros titres. Ils vont direct à la conclusion.
C’est la frénésie du balayage.
Vous devez les satisfaire à eux aussi.

Soignez vos titres intermédiaires. Les fameux H2. Pour que vos visiteurs stoppent le doigt qui fait défiler l’écran.

12. Cassez le rythme

Si votre vidéo, votre texte, est aussi monotone qu’un discours d’énarque, vous endormez les gens.
Vous les ennuyez. Ils vous fuient.

La plus belle écriture est rythmée.
Cassez le rythme.
Il faut des points.
Des phrases courtes.
Des citations.

13. N’abusez pas de ce conseil. Ou ce sera choquant

Vous vous voulez réveiller votre visiteur ?
Interpellez-le. Posez-lui des questions.
Mais n’en abusez pas.
C’est comme le café, ça reveille. Mais au bout d’un moment, ça fatigue.

14. Ce secret d’écriture, d’hab’, je ne le dis à personne

Regardez derrière votre épaule. Que personne d’autre que vous lise ça.
Ce que je vais vous dire est choquant.
Les magiciens des mots utilisent toujours ce tour. Pour doper les pages de vente de leurs plus riches clients. Ou pour pimenter leurs emails.
Ils savent que ça rapporte.

Voilà, si j’ai réussi mon effet, vous n’en pouvez plus.
Vous voulez savoir ce que c’est. De quoi je vous parle.
Ce secret d’écriture. C’est… Le… Mystère.

Titillez la curiosité de votre lecteur.
Chauffez-le à blanc.
Rendez-lui insupportable de ne pas savoir.
Forcez-le à cliquer.
Cultivez le mystère.

15. Le seul mot dont vous pouvez abuser

Qu’est-ce qui est le plus important pour celui qui vous lit ?
Votre titre d’article ou de vidéo ?
Votre histoire ?
Votre produit ou service ?

Non. C’est lui. Ou elle. Son nombril.
Ses problèmes. Ses désirs.

Comment bien écrire ?
En vous adressant à votre lecteur, qui vous fait l’honneur de vous accorder son temps.
Donc, abusez du pronom personnel « Vous ».

Le seul moment où vous pouvez dire « Je », c’est quand vous faites votre storytelling.

16. La plus belle écriture, la plus magnétique, a accouché de la série Breaking Bad. Voici comment…

Breaking Bad a aimanté des dizaines de millions de fans. Les scénaristes de cette série étaient des as du cliffhanger.
Souvenez-vous…
Ils vous montrent une scène flippante. Ou inattendue.
Puis ils stoppent là. Enchaînant avec une autre séquence.

Pendant ce temps, votre cerveau n’a pas oublié la première scène.
Il est comme un fou.
Il veut savoir la suite.
Il veut connaître l’épilogue.
Et ça, les créateurs de la série le savaient par cœur.

Copiez-les.
Créez des boucles d’attention.
Comme ça, par exemple : « Je vais vous dire mon secret ultime pour rédiger un texte de 1000 mots en 40 minutes (boucle 1). Mais avant, je dois vous faire une confession qui va vous choquer (boucle 2)… »

17. La puissance des illustrations

Une image vaut mille mots.
Si elle est bien pensée, informative, une infographie remplace un texte.
Par exemple : une carte pour décrire une tactique. Une mindmapp pour illustrer une formation.

Parmi vos lecteurs, certains sont plus visuels. Pensez à eux.

18. Jetez-vous sous les roues du camion

Soigner son écriture. Avoir un esprit créatif. Trouver des idées originales.
Tout ça ne sert à rien. Si les gens ne vous voient pas.

Faites-les cliquer.
Capturez leur attention.
Forcez-les à s’arrêter. Soyez l’autostoppeur qui se jette sous les roues du camion.
Comment faire ?
Creusez-vous la tête pour trouver un titre qui impacte.

Quand j’étais secrétaire de rédaction, je validais les pages de mon journal avant impression.
Notre titre de « Une » était l’objet de toute notre attention.
Il assurait le succès – ou le flop – du journal du lendemain.
Votre titre, c’est 50 % de votre travail.

19. Relisez-vous

Vous avez terminé votre post. Votre article.
Soigner son écriture, c’est prendre le temps de se relire.
Faites-le à voix haute.
Les sons qui sortent de votre bouche vous alertent sur les faux rythmes.

20. Zoom sur la ligne éditoriale

La ligne éditoriale, c’est votre ligne directrice. Votre fil d’ariane. L’autoroute de votre information.
– Elle répond aux attentes de votre client. C’est votre cible.
– Elle est fonction de vos objectifs. Exemple : obtenir 7 inscrits à votre newsletter par semaine.
– Elle est fidèle au parcours de vos clients. (Sont-ils issus d’un trafic froid ? Quels renseignements ils cherchent ? Où ils en sont dans leur parcours d’achat ?)
– Elle se décline dans un calendrier éditorial.
– Elle se révise à intervalles réguliers.

Sans ligne éditoriale, donc sans réflexion en amont, vous partez dans tous les sens. Vous vous perdez.

21. Comment ne plus jamais être en panne de sujets ?

Vous savez quelle est la différence entre un quotidien de presse et un blog ?
Si vous n’avez pas fini votre article, votre blog sera toujours en ligne.
En revanche, si votre article de journal n’est pas livré à temps, votre journal n’attend pas.
Les rotatives tournent.
Les ouvriers chargent les liasses.
Les camions de livraison démarrent. Sans vous.
C’est à la minute près.

Donc, journaliste, je dois toujours avoir un réservoir de sujets.
Pour vous, professionnel de la communication, voici mes astuces :
– recyclez vos contenus. Un sujet d’article peut devenir un portrait six mois plus tard.
– utilisez les marronniers. Tous les ans, les mêmes sujets reviennent. Les soldes. Les impôts. La rentrée. Anticipez. Préparez vos sujets.
– écoutez votre communauté. Voyez ce qui l’intéresse. Ce qui la fait réagir.
– cherchez sur le web les thèmes qui préoccupent vos clients (sur Quora, les groupes Facebook, Reddit, Buzzsumo).

22. Check-up

Votre article est terminé. Vous l’avez relu à voix haute.
Faites un dernier check.

Checkez votre titre.
Votre attaque (début de texte).
Vos intertitres.
La légende de vos photos.
Votre chute.

23. La contre-vérité qui va vous surprendre

Écrivez tout le temps.
Commencez par votre carnet intime. Ou des commentaires sur les réseaux sociaux.
Écrivez court. Mais souvent.
Vous prendrez vite confiance en vous.

On pense qu’il faut avoir des bonnes idées (donc quali) pour écrire. Mais c’est l’inverse que j’ai observé. 🤔

« Les bonnes idées viennent en écrivant. »

Damien, de Conseil Storytelling

Quant au rythme, choisissez des délais de parution que vous pouvez tenir sur le long terme.

Jack London était un immense écrivain. Il a inspiré des générations d’aventuriers, d’amoureux des grands espaces. Il écrivait ses 1000 mots tous les jours.

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Conclusion : comment améliorer son style d’écriture sans se lancer ? Sans prendre sans risque ?

C’est à vous de voir.
Les 23 techniques que je viens de vous dévoiler m’ont offert une vie rêvée. Un job où je me suis épanoui.
Ce sont 23 techniques de pro de l’info. Elles ont le pouvoir de changer votre vie de créateur de contenus.

Imaginez votre plaisir quand vous taperez sur votre clavier et que vos idées vont fuser, surprenantes, puissantes.
Fermez les yeux et pensez à vos 2000 inscrits sur votre liste. Tous fans de vos contenus, de votre créativité qu’ils lisent nulle part ailleurs.

Un nouvel avenir professionnel s’offre à vous.
Comme pour moi.

L’écriture, c’est la liberté. Elle ma rendu libre.
C’est un pouvoir exceptionnel. Il vous est accessible.

« Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront. »

René Char