Vous allez découvrir dans cet article comment soigner vos relations avec les médias si vous voulez booster votre notoriété sans payer une agence.
Les relations presse, c’est l’art de séduire les journalistes pour qu’ils parlent de vous et de votre entreprise, de votre association. Je sais, vous vous dites que c’est inaccessible. Qu’apparaître dans les médias, ce n’est pas pour vous.
Détrompez-vous.
Il y en a qui vous font croire que les relations presse, c’est compliqué. Il s’agit des agences de relations publiques. Elles veulent continuer à facturer leurs actions de communication à prix d’or.
Pourtant, vous avez tout intérêt à vous pencher sur le sujet. Car un bon article de journal écrit par un rédacteur pro, ça reste le meilleur moyen d’exploser votre notoriété. Voici pourquoi…
Ce que vous allez apprendre dans cet article sur les relations presse :
– Comment un entrepreneur du sud de la France, qui n’avait jamais réussi à attirer les journalistes, a finalement décroché un reportage dans France 3.
– Pourquoi ni You Tube, ni Instagram, n’ont changé les règles de la com’ dans les médias.
– La trame qui fonctionne pour (enfin) avoir un article dans la presse.
– Comment savoir (grâce aux médias et en dépensant moins de 10 euros) si vous êtes dans un business rentable et d’avenir.
– Pourquoi les lecteurs d’un journal restent vos meilleurs prospects (bien plus que vos abonnés Facebook).
(Pour télécharger votre infographie sur les relations presse, cliquez dessus)
Les relations presse, ça marche ! Un exemple (réel) et qui vous ressemble
Pourquoi faire des relations presse ? Pour réussir plus rapidement. Pour doper votre image de marque. J’ai un exemple de client à vous donner.
C’est Hervé Abbès. Il est enseignant en physique-chimie, dans le sud de la France. Hervé est aussi entrepreneur dans le domaine de l’enseignement des sciences avec GmonBac.
Son problème ?
Il ne savait pas comment prendre contact avec les journalistes pour qu’ils parlent de son activité. Il avait essayé d’approcher les médias de sa région mais sans succès.
Hervé a suivi mon webinaire sur les relations presse.
Qu’est-ce qu’il a fait ensuite ?
Il s’est contenté d’appliquer mes conseils en relations médias pour approcher mes collègues de la télévision.
Rien de bien sorcier.
– Rédiger un communiqué de presse pertinent.
– Avoir un plan d’action logique pour intéresser les journalistes.
– Cibler le bon bureau de presse.
Hervé, c’est un entrepreneur comme vous. Il ne sait pas comment faire des relations presse. Il ne sait pas comment faire un communiqué.
Pourquoi je vous parle d’Hervé ?
Parce qu’il vous ressemble.
Comme vous :
– il est passionné par son projet d’entreprise.
– il commence à avoir des clients. Il veut passer à la vitesse supérieure et se faire connaître.
– il utilise les réseaux sociaux. Il n’a pas les résultats qu’il espère (malgré toutes les promesses qu’on lui a faites sur le marketing digital).
– il pense que les journalistes et les médias en général sont inaccessibles.
– il est persuadé qu’il ne les intéressera pas.
Le résultat ?
Il a décroché dans la foulée un reportage dans France 3. Voici son témoignage.
Pourquoi faire des relations presse ? Ces raisons imparables que vous ignorez trop souvent
Les relations presse à l’heure du digital n’ont pas beaucoup bougé. Derrière l’écran, il y a toujours un journaliste qui rédige.
Pour l’approcher, les recettes restent les mêmes. Ni Facebook, ni Instagram n’ont changé la trame qui fonctionne :
– Sélectionner le média en fonction de sa pertinence par rapport à votre projet.
– S’informer sur ce journal / média et sa ligne éditoriale.
– S’informer sur le journaliste qui couvre le domaine d’actualité qui vous intéresse.
– L’approcher selon un timing judicieux (en fonction de la date de parution, des horaires de présence). Des données qui changent en fonction des grandes typologies de médias.
– Écrire un vrai communiqué de presse (et pas une soupe qui ressemble à une pub pour boîte aux lettres).
– Dire au journaliste ce qui l’intéresse. (Le business plan, c’est pour votre banquier). Avec une bonne dose de storytelling.
– Lui remettre un vrai dossier de presse (et pas un copier-coller indigeste de votre argumentaire produit).
– Relancer le journaliste et rester en contact avec lui (car vous avez sa confiance maintenant et il est devenu votre super chargé de communication).
Et voilà le résultat qu’a obtenu Hervé (dans le journal national de France 3 :
Vous l’avez compris, c’est une vraie stratégie média.
Mon plan d’actions pour les relations presse (méthode Conseil Storytelling), repose sur du bon sens + connaissance client (timing) + storytelling.
Pourquoi devez-vous déployer une telle trame pour votre campagne de relation presse ?
Les journaux sont une porte d’entrée vers votre meilleure cible client
Pour trois raisons imparables. Et dont, trop souvent, vous n’avez pas conscience. (C’est normal, vous ne baignez pas depuis plus de dix ans dans l’univers des médias comme moi. )
Du coup, vous n’avez pas constaté que :
– les journaux sont votre meilleure étude de marché.
– ils vous donnent accès à une cible marketing ultra qualifiée.
– ils sont une preuve de crédibilité auprès des décideurs.
Je vous explique pourquoi tout de suite. (J’insiste énormément sur ces trois points auprès de mes clients car ils sont stratégiques).
Pourquoi les journaux vous font économiser beaucoup d’argent…
Lancer un journal gratuit (comme 20 Minutes) ou payant (comme Psychologies Magazine), c’est un projet entrepreneurial colossal. Et un gros risque financier.
Du coup, ceux qui se jettent dans une telle aventure prennent leurs précautions. Ils font des études de marché ultra poussées et chères (ce que vous, vous ne pouvez pas vous permettre).
Ils veulent s’assurer que :
– les lecteurs seront au rendez-vous.
– ils seront prêts à payer le journal ou à s’y abonner.
– et que, le plus important, les annonceurs (publicitaires), seront aussi prêts à payer pour de la pub.
La publicité, c’est le nerf de la guerre pour 99% des médias qui existent (télévision, journaux, radio, internet). Sans elle, ils crèvent. (Les subventions indirectes de l’État sont aussi vitales).
Seuls quelques rares journaux vivent sans la pub et seulement grâce au porte-monnaie de leurs lecteurs (Le Canard Enchaîné, par exemple).
Vous avez donc compris là où je veux en venir. Sans la publicité, point de salut.
Alors, avant de lancer un nouveau journal, les patrons de presse s’assurent que les annonceurs vont suivre.
Et les annonceurs ne vont suivre que s’il y a un marché viable.
Les investisseurs ont fait l’étude de marché pour vous
Donc, si un investisseur lance un magazine mensuel sur le VTT électrique, ce n’est pas pour vos beaux yeux. C’est parce que les études de marché lui ont apporté la preuve que des annonceurs sont prêts à débourser des milliers d’euros pour coller leur pub dans les pages du journal. Et si les annonceurs lâchent leurs euros, c’est parce qu’ils veulent capter l’attention de leurs futurs clients, susceptibles d’acheter leurs produits.
C’est clair pour vous ?
Selon cette logique industrielle, s’il existe un journal qui a un lien avec votre activité, c’est la meilleure preuve qu’un marché existe et que vous êtes sur la bonne voie.
Si vous avez lancé une ligne de vêtements pour la pratique du VTT électrique, le fait qu’il existe un magazine sur le VTT électrique, c’est votre meilleure étude de marché.
Comment faire ?
Rien de plus simple ! Menez votre enquête chez votre marchand de journaux favori. Vous pouvez même visiter ce site, vous savoir en quelques minutes s’il y a un magazine proche de votre sphère.
Campagne de relations publiques : pourquoi vous perdez du temps (et beaucoup de business) en ne vous concentrant que sur les réseaux sociaux
Poursuivons avec l’intérêt, pour vous entrepreneur ou responsable associatif, de faire des relations presse.
Vous avez un produit ou service à valoriser. Donc vous avez des clients (ou des usagers) à séduire. C’est une évidence, mais je la précise.
Mais quelle est la typologie de clients la plus intéressante ?
– Celle qui est intéressée par votre produit ?
– Ou celle qui est prête à payer pour votre produit ?
Vous allez me dire : « Mais Damien, ne sois pas crétin, c’est la seconde catégorie qui est la plus intéressante. C’est-à-dire les gens qui sont prêts à payer pour mon produit. »
Ah bon ?
– Alors pourquoi vous, entrepreneur qui cherche des clients, vous concentrez 100 % de vos efforts sur les réseaux sociaux ?
– Pourquoi vous donnez du contenu de valeur -et gratuit- à des plateformes que vous enrichissez (Facebook, Instagram, You Tube) ?
– Pourquoi vous voulez atteindre des gens sur Facebook ou You Tube qui cherchent de l’information gratuite ?
Alors que, dans les journaux, vous avez des lecteurs :
– qui paient pour acheter un mensuel ou s’abonner à une chaîne (malgré un pouvoir d’achat qui stagne).
– qui font l’effort d’aller chez leur marchand de journaux pour acheter leur journal. (Malgré des semaines chargées).
– qui sont tellement passionnés par leur sujet qu’ils y consacrent leur précieux temps chaque semaine.
Vos actions de communication, c’est d’abord pour vendre.
En suivant mon raisonnement, à votre avis, quelle est la cible client la plus pertinente pour votre produit ?
– un lecteur de blog gratuit sur le VTT ?
– un acheteur de magazine sur le VTT, fidèle abonné ?
Eh oui, vous avez compris pourquoi des entreprises continuent de payer de la pub pour des centaines de milliers d’euros afin de paraître dans les journaux. Car elles savent qu’elles ont accès à une cible ultra-qualifiée et prête à débourser de l’argent pour acheter leur produit.
C’est pour ça que vous devez être présent dans les journaux. Pour approcher ce marché de niche, mais très rentable.
Pourquoi avec une bonne stratégie de relations presse, vous rejoignez la sphère des puissants
Je vous parle de pourquoi faire des relations presse depuis dix minutes. Mais vous avez remarqué que je ne vous ai pas parlé de notoriété.
Je sais, vous trouvez ça bizarre. Je l’assume. Car ma stratégie de relations presse n’est pas basée sur la notoriété.
Pourquoi ?
– parce que vous faites l’erreur de confondre les moyens avec votre objectif.
Votre objectif n’est pas d’être connu (notoriété). La notoriété est un moyen.
Votre objectif, c’est de vendre. (Je sais, ce mot fait peur aux entrepreneurs. Reste que toute activité qui n’amène pas à une vente n’est pas une entreprise. C’est un hobby, un passe-temps).
Le troisième facteur X pour votre entreprise en faisant des relations presse, c’est que vous êtes plus crédible pour vendre.
Pourquoi ?
– les journaux, la radio, la télévision sont vus et lus par les décideurs.
N’oubliez pas que nous sommes en France.
Dans notre bon pays, ce sont toujours les mêmes qui font la pluie et le beau temps, surtout pour vous les entrepreneurs.
Je parle des politiques, des directeurs de banque, des présidents de Chambre de commerce ou de Chambre de métiers, des préfets, des chefs d’entreprise. Etc.
Tous sont abonnés au journal local.
Tous écoutent la radio d’information.
Ces décideurs influents, ce sont autant de partenaires que vous allez croiser dans votre vie de créateur.
Du coup, il est primordial pour vous que ces décideurs vous identifient. Et pour ça, le meilleur moyen, ça reste d’avoir votre tronche dans le presse.
Pour décrocher le label : « Vu dans la presse ». Et renforcer votre crédibilité.
La meilleure agence de relations presse pour obtenir des retombées médias, c’est qui ?
C’est à vous de jouer, maintenant. Vous avez compris que votre meilleure agence de relations presse… c’est vous !
N’hésitez plus à pousser la porte des médias. Ils ne vous mangeront pas.
Comme journaliste, je n’ai jamais croqué personne. Comme chef d’agence dans le presse, non plus.
Les attentes des journalistes sont simples : une belle histoire (storytelling) donnée dans le bon timing.
Du coup :
– Rédigez un communiqué de presse qui mette en valeur votre projet.
– Préparez une interview avec un vrai storytelling (il y a tout ce qu’il vous faut dans mon site de Conseil Storytelling).
– Informez-vous sur les médias les plus pertinents pour votre entreprise.
Si vous vous y prenez bien, le journaliste sera votre meilleur chargé de communication… et votre plus belle plume.
Et si vous voulez plaire aux journalistes, et leur raconter une histoire qui fascine, inscrivez-vous tout de suite à mon groupe privé :
Damien RICAUT